[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Chapitre I : Et mon histoire commenca en haut d'une échelle en or.

Je ne sais pas si j’étais destiné à vivre une histoire normale, je ne sais pas si la vie avait prévue de me laisser à dieu un jour ou l’autre. J’étais béni pour certain, pour d’autre j’étais maudit, les avis étaient partagés, parfois cela donnait lieux à des disputes amusantes et futiles. Je suis née dans la belle capitale espagnole, Madrid, mais pas comme simple habitant, non, cela serait bien trop facile, trop beau. Ma mère était assignée au rang de Duchesse, alors que mon père restait inconnu à ma vie, préférant ses maitresses à sa responsabilités de père. Mon habitation était bâtie en plein cœur de cette merveilleuse ville, attendant ma venue comme si un joyaux allait voir le jour, comme si le monde m’attendait depuis que l’humanité avait été construite. Ma mère semblait m’aimer plus que tout au monde, son cœur m’appartenait déjà, qu’elle douceur qu’était sa peau quand mon visage de nourrisson se posa sur son sein pour y croiser son regard tendre pour la première fois. Elle me caressa les cheveux avant de succomber à la fatigue, de succomber à un cruel destin qu’est la mort quand elle fauche une personne que l’on aurait aimé plus que tout…

Ne me demandez pas si j’aurais été un fils modèle et courtois, si j’aurais été l’un de ses garçons arrogant ou doux avec sa génitrice, je n’ai pas eu le plaisir d’explorer cet horizon. A la mort de ma mère, ce fut ma marraine et mon parrain qui s’occupèrent de moi, ceux-ci étaient riches et de sang noble, ne cessant d'obéirs à des règles que je ne suivais pas, mais cela m’allais parfaitement bien, car déjà je montrais une certaine retirance à obéir aux lois qui m’entouraient. J’aimais ma liberté alors que l’on tentait de m’enchaîner pour faire de moi, cet idéal que les autres auraient voulu que je sois. Je résistais et cela dés mon plus jeune âge, faisant devenir chèvre mes professeurs, mes nourrisses et même les valets qui entouraient le royaume. J’avais besoin que l’on me haïsse, comme si ce besoin était profondément ancré dans mon âme, cette envie de me rebeller sans cesse, de faire connaitre mon nom par mes caprices, par mes délices. J’étais déjà ce fantôme qui s’égarait dans l’obscurité d’une vie brisée dés la naissance, car j’étais différent et j’en étais conscient, je ne supportais plus cela.

Je t’aime…Combien de fois n’ais-je pas dis ce simple mot à des filles qui aimaient l’obscurité en moi. Je m’en amusais, j’en étais infidèle et arrogant. J’usais de mes charmes encore et encore, sans pour autant ouvrir mon cœur à qui que se soit, cela aurait été trop dangereux pour moi, pauvre homme que j’étais. Mon cœur semblait étroitement liée à cette mère qui m’avait quitté trop tôt. Certaines nuits, je revoyais son regard croisé celui du nouveau-né que j’avais été, un rêve qui me réveillait en sueur, les larmes roulant sur mes joues rosés par cette colère contre la vie. Je me détruisais, je détruisais mon entourage sans aucun scrupule, je souriais sans pour autant en éprouver une joie…Je blessais les autres avec un effort considérable, mais plus je m’acharnais et plus je mourrais intérieurement. J’étais compliqué, j’étais impensable, j’étais simplement un adolescent qui faisait sa crise selon certain psychiatre. Je t’aime…Je le murmurais au creux de mon oreiller, caressant la seule photo de ma mère qui c’était abandonné à la mort pour me laisser m’abandonner à la vie.

« J’ai mal, en continu, sans jamais de répit. Tu m’as abandonné alors que nos regards se sont croisés, tu as osés te laisser aller alors que j’avais encore besoin de toi. Je suis perdu, je ne sais pas qui je suis réellement, je ne sais pas ou es ma place, ou je dois aller, entre la vie et la mort je m’abandonne aux excès de la vie en espérant te rejoindre un jour…si seulement je pouvais me consoler dans ton regard. »

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Chapitre II : J'ai croisé ton regard pour t'offrir mon coeur.

Si je ne l’avais pas rencontré, je serais peut-être mort à l’heure d’aujourd’hui, même si au fond, elle a brisé l’homme que j’étais, elle m’a également rendu plus fort. Alors que j’étais au plus bas entre mes coups de folies avec les jolies demoiselles, cette attirances pour la boisson ainsi que diverses drogues, mes parents décidèrent de m’envoyer dans une de leur famille lointaine en Tunisie. Là-bas, je rencontre une jeune demoiselle dont la beauté chamboula ma façon de voir les choses. Ses cheveux blonds, ses yeux bleus, son sourire angélique était des plus beaux. Fille de haute société, elle n’aimait pas la vie qu’elle menait, enchaînée comme moi par des uses et coutumes que nous refusions d’affronter, sauf qu’elle le faisait plus gentiment que moi. Au départ, je ne pouvais pas lui parler car tel était les règles, mais les règles ne sont-elles pas faites pour être contournées? Plus le temps passait et plus je me rapprochais de cette fille que je voulais absolument, au départ c’était plus de la cupidité qu’autre chose, mais le temps changea rapidement mon point de vue.

Notre histoire prit deux mois avant de démarrer, un secret bien gardé, des rencontres dans la nuit, des sourires et baisers échangés et parfois même nos envies consumées par un acte charnel. Elle avait une emprise sur moi que je n’expliquais pas , elle semblait m’offrir ce que je cherchais au plus profond de moi, un réconfort que je n’avais eu jusqu’aujourd’hui. Elle avait emprisonné mon cœur avec ses deux mains, serrant celui-ci à chaque fois que je croisais son doux regard. Je t’aime…Pour la première fois ce mot puait la vérité, comme si je m’étais enfin abandonné à quelque chose, aillant non plus soif de liberté mais bien soif d’elle. De cette fille à la chevelure blond comme le blé sous un soleil Espagnole. Mais cette histoire était bien trop belle pour durée, alors que mon amour pour elle serait à jamais éternel. Après six mois de vie commune, je me décide à lui demander sa mère en public mais surtout dans la tradition tunisienne. Elle dit oui, ses parents acceptèrent et ma joie fut immense, jusqu’au jour ou ma bien aimé disparue.

Je ne pu expliquer comment, ni même pourquoi mais elle avait disparue de la circulation terrestre. Je mis tout mon âme dans les recherches de cette femme que j’aimais, alors que je n’étais âgé que de vingt ans. Je mis la police de plusieurs états sur les traces de celle-ci, des privés et même le FBI fut de la partie, mais personne ne pu la retrouver. Apparemment, celle-ci se serait enfuie de peur de se marier avec moi, c’est se que je pensais, c’est se que tout le monde pensait…J’étais brisé, anéanti et ce jour-là je me jurais de ne plus jamais aimer personne, même si au fond de moi je savais déjà que jamais je n’allais la retrouver. Brisé et torturé par cette disparition soudaine, je retourne dans ce pays ou j’avais si longtemps laissé mes années de débauches dicter ma vie. Je n’étais plus le même, je restais enfermé dans ma chambre sans bouger, refusant toute compagnie agréable, laissant la boisson m’endormir pour laisser place à des cauchemars qui hanteraient à jamais ma vie.

« Je ne comprend pas pourquoi tu m’as abandonnés, je t’aimais tellement, ho toi ma déesse étrangère. Je voulais faire de toi cette femme qui partagerait ma vie entièrement, j’aurais fais de toi cette femme qui m’aurait dompté sans soucis et pourtant, tu t’es enfuie. Au fond de moi je sais que tu n’es pas loin, comme si ta volonté n’avait pas été de me quitter. Reviens moi princesse, car sans toi, je ne suis qu’une enveloppe qui semble vide, trop vide… »

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Chapitre III : Tu as brisé mon coeur entre tes doigts de déesse.

Elle ne pouvait pas être morte, je me refusais à cette idée des plus sombres. Elle ne pouvait pas m’avoir abandonné, nous nous aimions tellement…Alors ou était-elle? Avait-elle été enlevée? Je continuais mes recherches dans mon coin, alors que les autres avaient lâchement ou intelligemment abandonné celles-ci. Cette année-là, une nouvelle mondiale fit son apparition, les vampires existaient, je pouvais enfin espérer de nouveau…Avait-elle rejoins les rangs de ses créatures surnaturelles? Je n’en avais pas la moindre idée, mais cela expliquerait pas mal de choses. Je me mis donc à chercher dans la nuit, interrogeant quelques fois des vampires que je croisais, jouant avec ma vie sans pour autant avoir peur de la perdre. J’étais torturé, anéanti, je devenais fou à force de chercher un fantôme que je ne pouvais atteindre. Deux longues années s’écoulèrent avant qu’une piste se pointe devant mon nez, un vampire m’avoua avoir rencontré cette beauté divine dans le Sud de la France, un endroit que j’avais longuement fouiller avec des agents de police.

Alors, elle avait bien rejoint les rangs des vampires, elle avait fuit son humanité pour l’immortalité…Et moi dans tout cela? M’avait-elle oublié? Pourquoi n’était-elle pas revenue vers moi? Je l’aurais aimé, même si pour cela j’avais du mourir sous ses crocs. Je ne pris pas longtemps à la retrouver, elle était tellement différente quand mes yeux se posèrent sur elle au coin d’une ruelle sombre ou étrangement, elle semblait m’attendre. Elle ne souriait pas, elle semblait froide et arrogante, elle avait goutée à cette liberté que je n’avais jamais eu que dans ses bras. Je t’aime…Cela avait-il encore une signification à ses yeux. Cette nuit-là, cette femme que j’avais tans aimé me brisa plus que de raison. Elle n’avait plus rien d’humain, elle semblait éprouver une rage sans limite contre la personne que j’étais, elle m’en voulait mais je ne savais pas les raisons de cette haine. Elle voulait que je parte, que je cesse de la pourchasser et de l’aimer, mais mon cœur lui appartenait et cela n’en était que plus douloureux. Je t’aime, lui disais-je sans cesse…Je te haï me répondait-elle dans une froideur étonnante.

Et elle disparue dans la nuit, avant même que je puisse voir cette larme rouler sur sa joue d’une beauté surnaturelle. Si seulement elle m’avait avoué qu’elle fuyait quelqu’un d’autre, qu’elle voulait protéger cet homme que j’étais, éperdument amoureuse de moi. Si seulement j’avais su tout sa, je ne me serais pas jeté sur la route alors qu’une voiture arrivait à toute vitesse. Même cette mort là ne semblait pas vouloir de moi, dans le coma, je dérivais encore et encore cherchant la porte qui me mènerait à ma mère. Malheureusement, elle me donna de ce sang qui guéri les blessures physique, mais jamais elle ne pourrait réussir à penser mon cœur et encore moins cette âme qu’elle avait brisée.

« Tu as rejoind ce monde qui n’est pas le mien, tu m’as juré de ne plus jamais réapparaître dans ma vie alors que ma vie c’était toi…La mort ne semble pas vouloir de moi, pourtant, quelque chose me dit que tu n’y est pas pour rien dans cette histoire. Je me souviens de cette odeur que j’ai senti alors que j’étais endormi, de cette main caressant ma joue dans l’inconscient. Je t’aime…Oui, tu me l’as dis et ca, j’en suis sûr, ou alors aurais-je rêvé… »

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]

Chapitre IV : Le monde change, ma vie sombre sans fin.

Qui je suis? Je suis simplement un homme brisé qui essaye de foutre sa vie en l’air, qui tente de faire revenir cette fille qu’il aimait autrefois. J’essaye de sentir de nouveau son odeur, sentir sa main sur mon visage, ce je t’aime murmurer alors qu’elle me sauvait de cette tentative de suicide. Je me suis enfuis d’Espagne, je fuis mes obligations, mes envies et je sombre, encore et encore sans fin et sans réaliser qu’un jour peut-être je réussirais à refaire ma vie…