N'oubliez pas les top-sites ♥
Ils sont nécessaires à l'évolution du forum !
DF est à la deuxième page du top Obsession, et à la première page des tops Isolation et Révélation !
L'objectif est simplement d'atteindre la première pour une vague de nouveaux membres aussi disjonctés que nous |
|
| Joan ou la bombe nucléaire ... | |
| Auteur | Message |
---|
| Sujet: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:01 | |
| Ҩ Ioanna "Joan" Demetria Kostas "Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps."
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | ζ Bite me, honey. Je suis venu(e) au monde le 13 juin 1991 à Skala (Patmos, Grèce) et comme vous l'aurez donc deviner j'ai 20 ans. Mon surnom c'est Joan ou Demi. Je peux également vous dire que je suis célibataire et hétérosexuel par la même occasion. Que Dieu me préserve j'en suis fier. Bon sinon je suis issu(e) d'une classe sociale moyenne mais que voulez-vous, on ne choisit pas sa famille. Ah oui, sinon je suis strip-teaseuse. Je fais parti(e) des We're children of Gaya et donc comme vous l'aurez compris cela explique beaucoup de choses. Ah oui j'étais sur le point d'oublier ! Allez savoir pourquoi, mais il arrive que l'on me confonde souvent avec Leighton Meester. Les gens ont vraiment de la merde dans les yeux vous ne trouvez pas ? ζ No fuckin' way ! sulfureuse Ҩ dynamique Ҩ impulsif Ҩ explosive Ҩ directe Ҩ sociable Ҩ bornée Ҩ chiante Ҩ séductrice Ҩ sensible Ҩ amusante Ҩ indépendante Ҩ râleuse Ҩ intuitive Ҩ maline Ҩ sexy (a) Ҩ aguicheuse Ҩ sournoise Ҩ méfiante Ҩ rancunière Ҩ sensible Ҩ |
Ҩ WTF are you doing here ?[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
Dernière édition par "Joan" D. Kostas le Mar 13 Mar - 10:31, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:02 | |
| Ҩ Chapter One Skala (Patmos, Grèce), le 13 juin 1991,
Un violent orage s’abat sur cette petite île grecque situé en pleine mer Egée, qu’est Patmos, et c’est par cette journée que je vis le jour pour la première fois. L’orage ne présageait rien de bon, comme le dirait les Grecs, et cette phrase prenait tout son sens pour moi. Le ciel décida de donner la vie mais également de reprendre une vie. «Ioanna Demetria » parvint à murmurer la voix essoufflée de ma mère, me tenant dans ses bras frêles tandis qu’elle m’adressait un sourire, le plus beau qu’elle n’est jamais eu. Elle était toujours allongée et j’étais donc moi-même posée sur sa poitrine. Elle finit par tourner la tête vers la gauche et prononça une phrase déterminante à son petit ami « Promets-moi de ne pas l’abandonner. » et la seule réponse que mon père eu, fut de déposer un baiser sur son front avant qu’un son lugubre résonne dans la pièce annonçant ainsi le départ prématuré de ma mère morte en couche et je n’aurais donc jamais la chance de revoir un jour si ce n’est au paradis. Mes parents étaient deux jeunes adolescents de 17 ans tous les deux et la grossesse prématuré de ma mère les prit de court cependant ils décidèrent de garder l’enfant, choix qu’ils n’auraient sûrement pas fait s’ils auraient su que des complications durant l’accouchement emporterai ma mère. Mon père respecta les dernières volontés de ma mère et me reconnu donc comme étant sa fille au lieu de confier ma garde à un orphelinat et à une autre famille.
Quelques jours après ma naissance chaotique, je fus amené dans ce qui serait à présent mon foyer. Il s’agissait en réalité de la maison de mes grands parents paternels où vivaient encore mon père. Et même si ce dernier avait accepté de me garder, cela ne signifiait nullement qu’il avait l’intention de s’occuper. Evidemment que non, c’est donc ma grand-mère qui se chargea de veiller sur moi, de me donner à manger, de me consoler dans ses bras quand je venais à pleurer, de jouer avec moi et cela dura toute mon enfance en réalité. On ne peut pas dire que j’étais une petite fille épanouie, joyeuse, sociable et pleine de vie vu l’ambiance qui régnait au domicile familiale. Mes grands parents ne cessant de répéter à mon père qu’il devait porter un peu attention à moi, qu’après tout j’étais le fruit de son amour avec ma mère, mais toutes ces discussions se finissaient en disputes et claquements de porte d’entrée annonçant que celui qui aux yeux de la civilité était mon père, était parti dehors sûrement dans un bar. Voilà à quoi se résuma mon enfance jusqu’à mes 6 ans. Moi dans tout cela, je restai presque muette ne parlant que lorsqu’on me demandait si j’avais faim ou bien si l’école s’était bien passée. Tiens en parlant d’école, j’étais la petite fille invisible qui n’avait aucun ami car en fait j’étais bien trop renfermée sur moi-même pour être ouverte aux autres et m’amuser comme tous les enfants de mon âge. Et puis de toute manière je n’avais pas la même vision de la vie qu’eux pour moi la vie n’étais pas un cadeau enfin si mais empoisonné.
Dernière édition par "Joan" D. Kostas le Lun 12 Mar - 20:51, édité 3 fois |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:12 | |
| Ҩ Chapter two Skala (Patmos, Grèce), le 13 juin 1991,
Dernier jour sur cette petite île perdue en pleine mer mais aussi dernier jour avant que je sois loin de ma mère et de mes grands parents que je considère plus comme des parents après tout ce sont eux qui m’ont élevés. Aujourd’hui, je prends le dernier vol en direction d’Athènes aux côtés de mon père qui s’est enfin trouvé un travail décent et je suis, pour je ne sais quelle raison, obligée de le suivre. Mais avant je dois faire un dernier adieu à la personne la plus chère à mes yeux malgré le fait que je ne l’ai jamais vu. C’est donc un bouquet à la main que je me suis rendue au cimetière sur la tombe de ma mère. Le soleil se reflétait sur ma peau tandis que j’étais tranquillement assise sur la pelouse brulée par la chaleur de l’été. Après quelques minutes, je vins à élever ma voix « J’aurais préféré que tu sois à ma place et moi à la tienne ». Ces paroles pourraient paraître déplacé mais non car en fait tout aurait été plus facile si la situation était inversé, au moins je n’aurais pas à faire face au désamour de mon père. « Adieu Maman », oui ce n’était pas un au revoir mais bel et bien un adieu car d’après moi, je n’aurais pas l’occasion de pouvoir revenir ici. Et avant de quitter cet endroit lugubre, je versai une petite larme qui vint s’écraser sur la pierre tombale se trouvant à mes pieds. A peine, avais je mis le pied à la maison que mon père hurla « Ioanna, bordel, tu vas nous mettre en retard, alors maintenant prends ta valise qu’on parte d’ici ! » J’avais trop peur de mon père pour lui faire face, du coup je montai les escaliers quatre à quatre pour rejoindre ma chambre et récupérai mon unique valise laissant derrière moi toute mon enfance. Mais avant de pousser une dernière fois la porte de ce qui fut mon domicile pendant 16 ans, je pris mes grands parents dans mes bras, leur promettant de leur écrire dès que je le pourrais et les dernières paroles de ma grand-mère furent « Il lui avait promis de te garder à tes côtés et puis il faut dire que tu as les yeux de ta mère. » Aucune autre explication n’étaient nécessaire, je savais dorénavant pourquoi mon père tenait tant à ce que je vienne avec lui alors qu’il me détestait pour ce que j’avais commis le jour de ma naissance. Dans quatre heures, je poerai le pied dans la capitale, un nouveau monde s’ouvrirait à moi, celui de l’effervescence de la ville. Je découvrirais également mon nouveau chez moi, que je partagerai uniquement avec mon père, ce qui pour moi n’annonçait rien de bon et je ne savais nullement ce qui adviendrait de moi par la suite.
Jamais, au grand jamais, je n’aurais imaginé que ma vie prendrait ici un tournant décisif. Autour de nous, il y a les bons, les mauvais et les exclus de la société mais moi, ainsi que mes connaissances, ne faisions partie d’aucune de ces catégories. En fait nous étions tout simplement un savant mélange, nous classant parfois dans l’une de ses classes suivant notre humeur. Oui j’avais bien changée depuis mon arrivée à Athènes il y a 2 ans de cela. Influençable à l’époque, je vins à faire des rencontres avec des gens plus détestables les uns que les autres, devenant moi-même comme eux. Ma mère devait se retourner dans sa tombe en me voyant me changer si rapidement, passant de la petite fille timide et associable à la fille dévergondée voir droguée de temps en temps. Oui je filais un mauvais coton, c’est le moins que l’on puisse dire, passant mes nuits dehors couchant à droite et à gauche profitant ainsi d’un peu de tendresse que je n’avais pas connu. Mon père se fichait totalement de ce que je faisais, que je sèche les cours, que je ne rentre pas à la maison après tout ne pas me voir lui faisait sûrement plaisir, j’évitais ainsi de lui rappeler ma défunte mère. En réalité, ce n’était pas une crise d’adolescente que j’étais en train de faire, non c’était une transformation complète de mon moi intérieur qui s’effectuait. J’avais beaucoup trop vécu replié sur moi-même dans la douleur, vivant avec la mort de ma mère sur la conscience, tout ce que je voulais c’était oublier, ou du moins cacher toute cette souffrance en la dissimulant derrière une carapace indestructible qui se renforçait de plus en plus chaque jour au fil de mes actes. Je me droguais même parfois pour pouvoir enfin avoir la possibilité de m’amuser sans avoir à penser ce que je faisais, à moi, ni même à ma vie. Et brutalement je coupai aussi tout contact avec mes grands parents, de toute manière vu le point où j’en étais ce n’était pas une erreur de plus qui me ferait revenir en arrière. Mais ce n’est pas pour autant que je me préoccupais de mon futur, je me foutais totalement de ce qui pouvait m’arriver à l’avenir, vivant au jour le jour, ne pensant qu’à l’instant présent. De toute manière, on ne peut pas aller à l’encontre son destin, alors autant se laisser porter, nager dans le sens du courant sans avoir à se poser de questions.
Dernière édition par "Joan" D. Kostas le Lun 12 Mar - 20:53, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:12 | |
| Ҩ Chapter Three Athènes (Grèce), le 25 octobre 2009,
Cette gifle je ne la vis pas passer, je la sentis au plus profond de moi. Pour l’une des rares fois de ma vie, mon père fit une phrase de plus de deux mots qui s’adressa à moi « Tu cherches à bousiller ta vie ? Toi aussi tu veux mourir ? Ben vas-y t’en prive pas ! » hurla t-il dans notre appartement, je suis sûre que les voisins pouvait l’entendre aussi bien que moi. Et pour accompagner cette parole, il me montra la lettre qui était arrivé la veille et que j’avais laissée sur le lit trônant dans ma chambre. Si jamais su que mon père mettrait un jour un pied dans ma chambre, je l’aurais caché ou tout simplement brûlée ce qui m’aurait évité toute cette scène. Cette fameuse lettre m’apprenait en réalité que j’étais enceinte et je vous jure que ça ne me faisait pas plaisir à moi non plus, je n’avais nullement envie d’avoir un enfant, et puis je ne savais nullement qui était le père, il y avait des dizaines de possibilités à vrai dire donc évidemment j’avorterai. « T’es vraiment qu’une insolente et je remercie le ciel pour que ta mère ne t’es pas connu. » là ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. La raison pour laquelle j’avais caché à mon père que j’étais enceinte était bien évidemment parce que cela ne lui rappellerait que trop bien ma mère. Et comment osait-il dire cela ? Si sa volonté était de me faire du mal est bien il avait gagné le gros lot. Jamais il ne m’a parlé de ma mère, et voilà qu’il parle d’elle juste au moment où j’ai fait la pire connerie de ma vie. Ne lui adressant pas même un mot, je pénétrai dans ma chambre et jetai les premières affaires qui me venaient sous la main dans un sac. Et puis sans un dernier regard, sans une dernière parole, je claquai la porte de l’appartement, et entrepris le chemin vers l’aéroport laissant derrière moi, une vie que je ne voulais plus et je me décidai de rayer un trait dessus.
C’est donc comme ça que j’atterris à New York le lendemain, plus j’étais loin de mon père mieux ce serait et tant qu’à changer de vie autant changer de pays. Heureusement je maitrisais quelque peu l’anglais qui était la deuxième langue de la Grèce. Vu que je n’avais nulle part où aller et que très peu d’argent, je louais une chambre dans un misérable hôtel de la mégalopole New-Yorkaise. La première chose que je fis fut bien évidemment d’avorter avant que cela ne soit trop tard même si cela ne me faisait pas plaisir de tuer quelqu’un, mais c’était la meilleure chose à faire car de toute manière cette enfant n’aurait pas une enfance agréable et je refusais de lui infliger cela. Et c’est donc sans grand regret que je mis fin prématurément à sa vie. Je trouvai également un travail quelques jours après mon arrivée. N’ayant aucun diplôme à mon actif, le choix était donc restreint et c’est donc pour cela que je suis devenu rapidement strip-teaseuse dans un club, un moyen facile de se faire de l’argent. Par contre le patron me demanda de changer de nom pour l'américaniser un peu et faire plus strip-teaseuse disons-nous, c'est donc pour cela que Ioanna (Johanna en américain) se transforma en Joan et depuis je me fais appeler ainsi. Les premiers jours ce ne fut pas facile mais peu à peu ce travail me plut, je n’avais aucune honte à me dévêtir, et puis c’est un job comme un autre. Cela me permit de gagner encore plus de confiance en moi. Très vite je me liai d’amitié avec l’une de mes « collègues », et j’emménageai même avec elle quittant ainsi ma petite chambre d’hôtel. Bon l’appartement que nous occupions dans le quartier de Brooklyn n’était pas grandiose, c’était même un peu miteux mais bon nous préférions dépenser notre argent dans d’autres choses que le loyer. Très vite Bridget devint ma meilleure amie, ma confidente, ma sœur, bon évidemment je ne lui avais pas raconté toute ma vie mais bon j’avais quelqu’un à mes côtés sur qui je pouvais compter. Appréciant toutes les deux la compagnie des hommes, nous cumulions les aventures d’un soir partageant même parfois nos partenaires de jeu ! Dorénavant j’étais devenu cette fille indépendante, qui se fout totalement des préjugés, directe, qui ne mâche pas ses mots, quelque peu impulsive voir même explosive. J’ai tellement vécu dans la noirceur par mon passé que maintenant je fais ce dont j’ai envie, et je comble ainsi à mes plaisirs tous plus surprenants les uns que les autres.
Dernière édition par "Joan" D. Kostas le Mar 13 Mar - 10:33, édité 4 fois |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:13 | |
| Ҩ Chapter Four New York (USA), le 12 février 2010,
Une nuit de plus à travailler, de passer, je crois d’ailleurs que c’était ma plus belle performance au vu de la réaction des clients présent à cette soirée. Le patron m’avait d’ailleurs félicité mais bon je ne faisais que mon métier après tout ! Après que le club est fermé, je restai avec mon ami Bridget dans la loge rangeant mes affaires tout en papotant avec elle bien évidemment. Tandis que je finissais de me coiffer, Bridget m’adressa la parole « Je reviens, j’ai oublié mon collier du côté du bar mais fais pas de bêtise en m’attendant ! » alors qu’elle m’adressai un clin d’œil et que je ne pouvais m’empêcher de rire après sa réflexion. Qu’est ce qu’elle voulait que je fasse alors que j’étais toute seule ? Voilà dix bonnes minutes que on amie était parti et elle n’avait toujours pas repointé le bout de son nez, je décidai donc de gravir les escaliers pour la retrouver au rez de chaussée du club où se trouvait le bar. C’était sûrement une blague de sa part de me faire flipper comme sans, sauf que lorsque je vis quelques traces rouges au sol arrivée sur le palier, je rigolais moins et mon souffle était coupé. J’étais contre le mur, et regardais à travers l’entrebâillement de la porte, en parcourant furtivement la pièce du regard par la petite ouverture qu’offrait la porte, je décelai le corps de mon amie par terre, couchée sur le ventre et très amochée. Un homme se tenait à côté d’elle debout, tout sourire aux lèvres. Il avait un visage si caractéristique. Je détachai mes yeux de cette personne quand je vis les lèvres de Bridget remuaient et composant ainsi le mot « Cours » mais sans le prononcer, et son regard dirigé en ma direction. Elle m’avait donc remarqué et même si je tenais à mon amie, je suivis son conseil enfin son ordre et sans bruit je me rendis de nouveau dans ma loge, prenant au passage mes affaires et quittait le club par la porte de derrière. Et lorsqu’un cri puis un long silence se fit entendre de l’intérieur du bâtiment alors que j’étais sur le trottoir d’enfance, mon sang se glaça automatiquement. Mon corps avait compris ce qui était advenu de Bridget mais mon esprit lui ne voulait pas l’admettre.
Quelques jours plus tard, j’apprenais que mon amie avait été en réalité vidée de son sang et non pas tuer tout bonnement par une balle ou une arme blanche. De plus ce n’était pas le premier meurtre de ce type, les autorités ayant retrouvé d’autres cas similaires dans d’autres clubs de New-York. Forcément cela ne me rassurait pas trop, je n’avais pas envie de me faire tuer de cette façon bizarre. Et c’est donc naturellement et une fois de plus que je quittai l’endroit où j’avais vécu quelques temps. J’atterris donc quelques jours après le meurtre de mon amie à Port Hudson, en Louisiane. Peu de temps après mon arrivée, la révélation a lieu exposant ainsi les vampires au monde entier et résolvant ainsi le mystère du meurtre de mon ancienne meilleure amie. Sur le coup, forcément, j’étais surprise et à la fois énervée que des monstres sans pitié courent par delà le monde, faisant que nous n’étions en sécurité nulle part. Mais j’étais quand même un peu intriguée, je voulais savoir si tout ce qui se disait été vraie, si les vampires « gentils » pouvaient eux aussi exister. Apprenant quelques mois plus tard que dans Port Hudson un bar pour vampires, appelé le Bloody Mary, venait de faire son apparition, je m’y présentai pour proposer mes services en tant que strip-teaseuse, après tout les vampires peuvent eux aussi succomber à mes charmes non ! Bon d’accord, mon intention première étant de les espionner un peu. Les vampires auraient pu me remercier quand même, je leur donnais une seconde chance de se racheter envers moi, ce qui n’est pas donné à tout le monde dois-je dire ! Encore aujourd’hui, je bosse toujours au Bloody Mary, appréciant l’ambiance qui y règne, et finalement ces vampires ben je fais avec, en appréciant certains en détestant d’autres, un peu comme les humains quoi.
Dernière édition par "Joan" D. Kostas le Mar 13 Mar - 11:54, édité 6 fois |
| | | O. Simeo Reagan FONDA' న big bαd wolf Hello my lovelies▶ messages : 312
| Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:18 | |
| WITCHIIIIIIE Que t'es belle en Leighton *-* BIENVENUE SUR LE FORUM & si tu as des questions n'hésites pas |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:46 | |
| Merci mon bad boy Ouais je suis sexy et je l'assume mais alors toi t'es une bombe hein tu le sais Et oui j'hésiterai pas en cas de besoin! |
| | | O. Simeo Reagan FONDA' న big bαd wolf Hello my lovelies▶ messages : 312
| Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:49 | |
| |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 20:57 | |
| Ben oui on est pas les meilleures pour rien |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 22:00 | |
| |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 22:43 | |
| Merci Cian et qu'est ce que je peux dire de plus mis à part |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Lun 12 Mar - 23:32 | |
| - "Joan" D. Kostas a écrit:
- Ben oui on est pas les meilleures pour rien
Flemme de changer de compte :ange: Mais +10000000 ma Witchie ! WE'RE THE BEST |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Mar 13 Mar - 8:42 | |
| Witchie, quelle joie de te retrouver ici, et en Leighton en plus! Bienvenue sur le forum! Et garde moi un lien! |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Mar 13 Mar - 10:11 | |
| Merci Zep, et pas de soucis pour le lien, je te garde ça au chaud, puis je peux pas dire non ah Sexy Amber |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Mar 13 Mar - 12:44 | |
| Défi relevé, j'ai lu ta fiche jusqu'au bout! *sbaaf* Tu es donc validée! Bon jeu sur DF, n'oublie pas de recenser ton avatar et de créer ta fiche de liens! |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... Mar 13 Mar - 12:48 | |
| Eh eh, je suis fière de toi, t'as le droit à un bisous Je vais donc faire tout ça! |
| | | | Sujet: Re: Joan ou la bombe nucléaire ... | |
| |
| | | | Joan ou la bombe nucléaire ... | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|