| Sujet: dog days. (the end) Lun 12 Mar - 19:55 | |
| Ҩ Amadeo Tristan Rossetti your own personal jesus, someone to hear your prayers, someone to care.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] | ζ Bite me, honey. Je suis venu au monde le 21 Aout 1950 à Boise, Idaho et comme vous l'aurez donc deviné j'ai 62 ans. Mon surnom c'est Madeo, ou même Mad. Je peux également vous dire que ma vie amoureuse est compliquée et que je suis bisexuel avec préférence homosexuelle par la même occasion. Que Dieu me préserve j'en suis fier. Bon sinon je suis issu d'une classe sociale pauvre mais que voulez-vous, on ne choisit pas sa famille. Ah oui, sinon je fais le trottoir, je suis un escort boy, une prosititué de luxe, ou parfois moins que ça. Je fais partie des moon is my master et donc comme vous l'aurez compris cela explique beaucoup de choses. Ah oui j'étais sur le point d'oublier ! Allez savoir pourquoi, mais il arrive que l'on me confonde souvent avec Jon Kortajarena. Les gens ont vraiment de la merde dans les yeux vous ne trouvez pas ? ζ No fuckin' way ! toujours open Ҩ sex addict Ҩ disponible Ҩ très tactile Ҩ charmant Ҩ charmeur Ҩ fidèle Ҩ auto-destructeur Ҩ idéaliste Ҩ désabusé Ҩ curieux de tout et tout le monde Ҩ peut être violent Ҩ attentioné Ҩ solitaire Ҩ attentif Ҩ sombre Ҩ toujours à l'écoute |
Ҩ Show me your teeth Les contes de fées on dit que c'est pour les filles, mais nous les mecs aussi on s'y connait. Genre, tu vois, ma vie c'est un conte de fée. Enfin, pour la fin je sais pas, mais le début ça y ressemble un peu trop. Mais je suis pas sûr que j'aurais droit au "ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants". Au Prince Charmant peut-être, si c'est pas trop demander, mais je crois que je rêve.
Ca a commencé comme dans n'importe quel conte de fée, ou un petit garçon nait dans une famille qui n'a aps un rond, et qui préférerait l'abandonner. Sauf que le petit Poucet il était carrément plus intelligent que tout le monde, bien plus intelligent que moi. Moi j'avais oublié de prendre des petits cailloux quand je me suis perdu en forêt. Mes parents c'étaient un peu les mêmes par contre. Ma mère gagnait des clopinettes, pas assez pour se garder en vie avec un môme dont le père avait disparu de la circulation. C'est pour ça qu'elle est allée se coltiner avec un mec qui me fera toujours plus flipepr que n'importe quel vampire. C'était un autre italien, ça devait la rassurer, mais il ne l'a pas rassuré bien longtemps, quand il a commencé à lui faire des gosses, nous crier dessus tout le temps, et nous tabasser de temps en temps. Moi, bien sûr il me détestait encore plus, vu que je venais des couilles d'on ne sait quel connard de passage. Mais jamais je me suis laissé faire par ce salopard, et j'aurais voulu prendre ma maman dans mes grands bras, prendre mon frère et ma soeur par la main et partir le plus loin possible avec des bottes de sept lieues.
J'aurais voulu que, comme dans les contes de fées, un mec sur un cheval blanc ou une bonne fée vienne me voir un jour pour me dire que mon père était un grand roi qui cherchait à me léguer toute sa noblesse, tout son royaume et une magnifique princesse à marier. Mais la bonne fée à préférer rester chez elle à regarder la télé, et je me suis décidé à aller chercher mon père par moi-même, avec l'espoir de le trouver régnant sur un grand royaume, dans un chateau majestueux qui surplombe une vallée, comme on en voit à Disneyland. Mais je me suis rendu compte que mon père ne régnait que sur trois mètres de terre, et encore, c'était plutôt deux arbres et un tipi. mais avoir un père Amérindien, ce n'est pas non plus si terrible. C'était déjà mieux que l'autre italien - qui n'a jamais réussi qu'à apprendre à le maudire des façons les plus chantantes et enlevées qui existent, en Italien aussi bien qu'en Anglais -, alors je préfère ne pas me plaindre. Le problème c'est que sur le chemin, tel le Petit Chaperon Rouge, j'ai fait une mauvaise rencontre. Enfin, c'est le moins qu'on puisse dire, parce que si le Grand Méchant Loup existe, je peux dire que je l'ai rencontré en personne. Ou pas loin. En plus sexy, et croisé avec la Princesse Charmante. Une princesse Charmante coincée dans le corps du Grand Méchant Loup et qui, quand elle vous sourit, vous fait surtout penser qu'elle va vous dévorer. Ca c'est donc passé sur le chemin que j'ai pris pour allé rendre visite à mon père, qui avait eu la bonne idée de s'enfoncer dans les forêts d'Idaho avec ses potes Indiens. Je marchais, tranquille, me croyant devenu un animal, ou imitant tous ces hippies dans on parlait à l'époque, dans ces jolies sixties où tout le monde était fou, et surtout moi. Ah oui, j'avais dix-neuf ans, et bien que je ressemblasse au Petit Chaperon Rouge, j'occulte toute une partie de l'histoire. J'avais pour ainsi dire, découvert les mystères de la vie, enfin quelques uns, ceux que tout le monde fini par connaitre et qui se passent dans les fesses. Et vu mes possibilités d'avenir et mon origine sociale qui faisait que je me déplçais plus en vélo qu'en limousine, il avait bien fallu que je trouve comment me payer à manger, à boire et à fumer. C'est pour ça que je me suis mis à vendre mon corps, et que c'est devenu comme une vocation. Une vocation de prostitué, ça peut faire sourire, mais ça m'est arrivé, parce qu'on peut faire tellement plus de choses que vous croyiez sur le trottoir, et qu'il ne suffit pas de donner ses fesses à un inconnu. On peut aussi véritablement le rendre plus heureux, et c'est cela que j'aimais faire. Mais revenons-en à ma rencontre avec le Grand Méchant Loup. Nous n'étions vraiment pas ce que nous paraissions être, et si elle me pensait véritablement être blanche-Neige la naïve, je ne pouvais imaginer quelle belle Princesse Cendrillon ce Loup se révèlerait être même une fois passés les douze coups de minuit. Un grand sourire, une petite morsure bien dans les côtes et c'était fait. Je suis devenu un loup-garou. Voila l'élément perturbateur de mon histoire banale et perdue d'avance. Maintenant voici venues les péripéties, les épreuves et les dragons à combattre. Et à la fin tout ira bien, enfin la fin, la fin heureuse je pense que ce sera pas pour tout de suite.
Je n'avais pas de princesse à délivrer des geôles de son infâme beau-père, mais il y avait des épreuves aussi insurmontables qu'une armée de chevaliers et cent magiciens avant d'arriver ou je suis aujourd'hui. Mais s'il y a un but à ma quête, on ne me l'a jamais dit, à moins que ce ne soit que la survie. Et pour l'instant j'y arrive, mais c'est pas facile tous les jours. Ca a commencé très mal, parce que ma Princesse Charmante qui avait dévoré le Grand Méchant Loup n'aurait jamais dû me laisser la vie sauve, et, quand elle m'amena devant Mathias le grand Loup de la forêt, tel un enfant, un jouet qu'elle voulait lui offrir, tout ce à quoi j'ai eu droit c'est à un regard qui me disait d'aller sucer toutes les bites de l'Enfer. Encore un beau-père des plus sympathiques, c'est devenu l'histoire de ma vie, sérieux. Heureusement que mes mères, même d'adoption, ont toujours été la perfection, idéalisée certes, mais toujorus plus satisfaisante, surtout dans le lit de la Grande Méchante Louve. Mais plutot que d'essayer de lui plaire, il faut croire que j'ai essayé au plus vite d'éxécuter son ordre, ce qui étrangement, ne lui a pas fait plaisir. Et oui, les parents, on ne comprend jamais ce qu'ils veulent dire. Et quand ton homophobe de père te dit d'aller te faire enculer, un conseil, ne le fait pas, et si c'est un loup garou de plus de 900 ans, fait toi tout petit si tu veux garder ta tête. mais bizarrement j'ai réussi à lui obéir et à garder ma tête. Encore aujourd'hui je me demande comment j'ai fait. FInalement je dois avoir une bonne fée qui veille sur ma tête, entre deux rediff d'American Idol. Quoiqu'il en soit, j'ai toujorus eu du mal avec mes pères, et Mathias n'échappa pas à la règle, même si techniquement, il n'a rien à foutre dans ma case paternelle. On s'est détesté, défié, et il m'a marché sur la gueule plein de fois. Voir un des siens sucer des bites, ça passait vraiment pas. Même lui dire que cela faisait partie de mon métier ne passait pas. Et puis il devait se rendre compte bien mieux que moi, cet ogre aux pouvoirs démoniaques, que j'aimais plus les hommes que je ne le croyais. Ca a du flair un vieux Bulgare. Malgré tout ça, il a finit par me laisser faire, ou plutot a arréter sa griffe au dessus de ma tête, en attendant que je commette l'erreur fatale. L'ai-je déjà commise ? Je ne suis surement pas loin. Il faudra stand up and fight, lever une armée et combattre le mauvais roi et devenir peut-être le bon prince de ces bois. Moi bon prince ? Je préfère en rigoler. Si je veux bien casser la tête de ce père indigne, je ne veux pas le remplacer, ni devenir comme lui. Diriger c'est pour les autres. Moi je suis là pour baiser.
Avec cette meute de loup, on a bringubalé un peu partout je crois, je ne faisais vraiment pas attention, moi je ne voyais que des corps des fesses des lèvres et des pièces le plus souvent, et parfois je m'autorisais à regarder le paysage. On a fini par m'accepter comme la pute de service, celui qui couche avec les puissants et ramène un peu de tout, enfin surtout qui entre dans le lit des puissants pour leur voler tous leurs secrets, tous leurs bijoux et parfois les tuer dans leur sommeil. Personal Jesus mon cul, j'étais surtout le fléau divin des loups en mode discount. Je me répugnais à tuer le plus souvent, que ce soit quand la meute me le demandait ou quand les ardeurs de la pleine lune et mon instinct me le dictait, mais je me dois de remarquer que souvent j'aimais ça, le gout du sang dans ma bouche. Tout aurait pu être parfait, s'il n'y avait aps eu les vampires, me suis-je dit. C'est vrai qu'on aurait pu dominer le monde, nous les loup-garous, mais à bien y réfléchir je ne sais pas si c'est ce que je veux. En tout cas, eux les vampire,s je me pose sérieusement la questions de leurs intentions. C'est comme si de nouveaux ogres entraient dans le jeu du conte de fée du monde et que le destin des princes et princesses étaient de finir dans un bain de sang. J'espère que je ne serais pas dedans. J'étais dans le coin de la Louisiane, à suivre la meute, par-ci, par-là, quand c'est arrivé, la révélation, et honnêtement je me suis demandé comment ils avaient pu être aussi cons. Enfin bon c'était leur choix. Toutes nos races, humains y compris, vivaient comme des entités bien séparées jusque là, c'était peut-être le moment de tous se rencontrer et de se mélanger. De bonnes parties de jambes en l'air en perspective. Je faisais comme tous les autres loups, semblant de haïr ces connards de sangsues, mais au fond, je n'avais qu'une envie : tous me les taper. Comme une pauvre petite fille en chaleur qui brûle de se faire dépuceler. C'est là que j'ai commencé à faire cette chose drôle mais tout de même dégradante : me faire passer pour un vampire aux yeux de certains clients - que voulez-vous c'était la mode. Mais tout ce dont j'avais envie c'était de m'en taper un pour de vrai, de vampire, voire plusieurs. Enfin ça n'avait pas l'air de prendre, quelle suceur de sang voudrait tremper ses crocs dans un chien errant ? Mais il y en a eu un qui a dû se boucher le nez. Maintenant que j'y pense, je trouve ça tellement irréel. On s'est rencontré dans un aéroport. S'est sentis. Et on s'est pas jetés à la gorge. Ca tenait du miracle. Je lui ai montré la ville il m'a montré son corps. Je l'ai tellement pas vu venir que j'ai oublié de le faire payer. C'était si beau si bon, si magique à coté des usual bitches, que j'ai cru que les couilles allaient m'en tomber. Cela m'a paru comme un cadeau qu'il me faisait, voire comme une révélation, les tables de la loi qui me sont tombés sur la gueule, sauf que y avait pas Dieu pour me les déchiffrer. Mais je n'ai pas voulu y croire, qu'une simple passe dans une chambre d'hotel me ferait autant d'effet. T'as changé ma vie mec sérieux. T'as été mon meilleur coup, et je saurais pas dire si c'est juste parce que tu fais pas que sucer des bites, ou si c'est parce que c'est toi. Et je serais devenu fou si tu n'avais pas généreusement laissé un billet de cent dollar sur la table de chevet - enfin l'argent je m'en foutais, tout ce que j'ai vu c'est le numéro que t'avais écrit derrière. Plus aucune passe n'a semblé la même après. Les humains m'ennuyaient. Les lycans m'énervaient. Je n'avais qu'une envie c'était de revoir ce charmant inconnu au dents longues, qu'à une minute près j'aurais pu louper. Qu'est-ce qui m'avait fait m'approcher de lui au bar de cet aéroport ? Ma bonne fée avait devait avoir sa télé en panne. Ou c'était juste l'ennui. Et l'odeur étrange émanant de lui qui m'avait intriguée. Et sa tête que j'avais vu à la télé lors de mon dernier voyage avec un riche magnat de la finance au Japon. Enfermé dans ma chambre d'hotel comme un prisonnier dont on a honte, je n'avais eu que la tête du Professeur Nielsen pour me distraire et avouons-le, déjà fantasmer. C'est comme ça que Cian et moi, notre aventure a commencé dans une télé, dans un hotel, dans un aéroport et dans une chambre d'hotel. Une aventure, un plan cul, appelons ça comme on veut, je sais juste que quand je ne vois plus ce mec, même une bite n'a plus de gout. mais j'ai pas le droit, je le sais bien, d'aimer un mec, surtout si c'est un vampire. C'est comme les mariages mixtes, c'est franchement mal vu, et ça peut me valoir la décapitation. Alors pour faire passer la pillule, je récupère en douce du sang de ce bel étalon, et le ramène à ma bande de sales dealers. Et qu'on m'oublie, qu'on me fasse pas chier. Mais lui ? Oh bordel, ma tête me fait déjà chier comme ça. C'est comme si j'avais rencontré le Prince Charmant mais que je me demandait encore si c'était pas juste un connard comme les autres, juste un dieu du sexe, ou plus -ne aprlons même aps de mariage, c'est même pas autorisé en Louisiane et ça sent la naphtaline. On s'est revu quelques fois, mais c'était sali par du fric, par un silence pesant, par du sang, par tout ça. Avec lui, pour une fois, je veux plus que du sexe, plus qu'une passe de temps en temps. Mais moi l'amour, je sais pas ce que c'est, c'est aussi abstrait que pour les petites filles dans les contes de fées, alors je ne dirais pas que c'en est.
Et puis il y a tous les lycans. Bordel, cette plaie. Des fois je voudrais que l'histoire se soit arrêté plus tôt et qu'on ait juste laissé tous les dragons du monde vivre en paix sans moi. Je serais mort tranquillement à soixante ans, assassinés en douce par mes propres enfants pour me prendre mon maigre héritage. J'aurais jamais rencontré ni les lycans ni les vampires. j'aurais jamais rencontré Cian, merde. Je ne sais plus quoi choisir du coup maintenant. Surtout que je ne peux pas le choisir lui si je veux rester en vie. Oh c'est tellement Shakespearien. Lui c'est ma mort. Pire que les contes de fées dit par Walt Disney. C'est plus sanglant. Parce que les lycans domineront le monde - ou les vampires, si vous y tenez -, mais aps demain, demain ya la bite de Cian à sucer.
Ҩ WTF are you doing here ?[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] Yaaay, alors moi c'est Flying Dinosaurs (anciennement cheap&cheerful), ou Cam pour les très intimes ; ) J'habite en Bizarrance et j'en suis fière. Je dis de la merde 23h sur 24 et la dernière heure, je la passe à dire des choses pas catholiques. Ouais je suis une racaille et une sacrée pétasse mais je vous kiffe grave :3 J'ai atterri ici grâce à Tea Leaf qui m'a montré ce forum sur Bazzart, et puis on débarque ici avec Sha, et ça va être la guerre ! Je pense venir assez souvent, presque tous les jours, sauf quand la fac aura décidé de m'arracher les yeux ! Sinon j'habite à Lyon, la ville des mignons <3 Pour finir, je vous fais une petite tape sur les fesses et retourne siroter mon milk shake avec un air aguicheur, BANZAI !
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Dernière édition par Madeo T. Rossetti le Mar 13 Mar - 16:03, édité 13 fois |
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